lundi 23 novembre 2015

Phnom Penh : dégringolade au Cambodge et découverte de la capitale

Premier article sur le Cambodge, avec notre arrivée dans le pays et notre découverte de Phnom Penh, la capitale.

Capitale que nous avons dû rejoindre en catastrophe pour régler une petite formalité administrative...

Rappelons rapidement les faits : ayant parcouru durant notre voyage une bonne dizaine de pays classés ''à risque'' pour la tuberculose par le ministère de l'immigration néo-zélandais, nous sommes tenus de fournir une radio des poumons pour prétendre à l'obtention de notre working holiday visa. 

Problème, alors que nous pensions avoir le temps de faire ces radios, la veille de notre départ du Laos et dix jours après notre demande de visa, nous recevons un mail du responsable de notre dossier en Nouvelle Zélande, nous annonçant que nous n'avons que quinze jours à compter de la date de demande pour faire parvenir nos radios... Ce qui nous laisse cinq jours. Nous partons demain, donc quatres jours. Le centre de radiologie agréé le plus proche se trouve à Phnom Penh, la capitale du Cambodge, à une journée de voyage des 4000 îles. Et de trois jours...

Si cette explosive information ne change rien à notre date de départ du Laos, elle nous empêche de nous poser juste après la frontière pour organiser notre vadrouille au royaume des khmers. 

C'est donc parti pour une grande course vers la capitale Cambodgienne, à cheval sur le fol espoir d'obtenir nos radios à temps pour les faire parvenir à l'immigration avant la fin de l'échéance. Nous n'avons de toutes façons pas le choix, il faut que ça passe.

Le jour du départ de Don Khon, nous ne nous embarrassons pas de vaines conjectures ou de ''et si...?'' inutiles. Nous ne pouvons pas aller plus vite que les transports, les dés sont jetés, et nous mettre la pression ne changerait rien à rien.

Une fois n'est pas coutume, nous organisons notre trajet jusqu'à la frontière cambodgienne en agence. Deux agences en moins de deux semaines, ils s'assagissent les débrouillards me direz-vous... Mais il s'avère que dans notre cas, il est plus économique de passer par une agence que de tout régler soit-même à la station de bus, rapport aux prix spéciaux et officiels pratiqués avec les étrangers. Oui, ils sont forts, très forts... Bref, c'est fou, mais les tarifs des tours-opérateurs sont inférieurs a ceux qu'on obtient en se pointant directement au guichet.

A noter qu'il est possible de rallier directement Phnom Penh depuis les 4000 îles, mais dans ce cas le prix du visa cambodgien est plus élevé. C'est en effet votre chauffeur de bus qui s'occupera dans ce cas des formalités d'entrée en en profitant pour se mettre une petite commission dans la poche...

De notre cote, nous comptons rejoindre la frontiere, la passer seul, et recuperer un transport, si possible local, de l'autre cote.

Aux premières lueurs de l'aube, nous quittons notre petite île paradisiaque en pirogue, regagnons les rives du Mékong, et rejoignons la station de bus de Nakasang. Une petite heure plus tard, nous roulons en mini bus vers la frontière. 

Nous débarquons, faisons tamponner nos visas laos (2$ le coup de tampon!), et rejoignons à pied le côté cambodgien. Nous passons un premier poste de douane, remplissons quelques papiers, gagnons un autre bureau, et 35$ plus tard nous voilà en possession de beaux visas cambodgiens de trente jours. A noter que notre tentative de payer moins cher en nous occupant nous-même de nos visas est moyennement concluante : nous aurons économisé... 1$ chacun par apport à ceux qui se sont contentés de laisser leur chauffeur de bus régler les formalités...

Un homme nous harponne dans la minute qui suit pour nous proposer un billet de bus à destination de Phnom Penh. 

Il n'y a pas de transports locaux, seulement une compagnie de bus, et nous acceptons. En début d'après-midi, nous embarquons dans un nouveau van et roulons une petite heure avant un premier arrêt au milieu d'une grosse bourgade. Nous ne savons pas du tout dans quelle ville nous sommes, mais c'est ici que se séparent les voyageurs désirant rejoindre Siem Reap et ceux visant la capitale, et nous profitons de la pause pour fureter un peu en quête de quelques premières impressions. Sans dire que le bazar règne, le bled est quand même très animé, et l'activité fourmillante des alentours tranche radicalement avec le calme lao que nous venons de quitter. C'est le retour des immeubles de plusieurs étages, de la circulation assourdissante, des klaxons à tout-va et j'en passe... Mais le tout ne se départit pas des inconditionnels petits marchés grouillants et autres vendeurs ambulants asiatiques.

Nous tâtons pour la première fois le très particulier système monétaire cambodgien. Nous avons donc d'un côté le riel, la monnaie officielle. Un euro vaut grosso-modo 4500 riels à l'heure où nous ecrivons ces lignes. De l'autre cote, nous avons le bon gros dollar americain, utilise en parallele. Un dollars US vaut un peu plus de 4000 riels. Si dans quasiment tous les pays, il est parfois possible de payer directement en dollars, dans les grands magasins, les hotels de luxe, les compagnies de voyages etc... Au Cambodge, c'est different : les deux monnaies sont utilisées pareillement dans tout le pays, de la petite échoppe au gros hôtel, du vendeur de bananes ambulants à la gargotte du coin en passant par le restaurant et le marchand de poisson. Ce système bimonétaire n'est pas seulement utilisé par les touristes, mais aussi par tous les cambodgiens.

Nous allons vite nous apercevoir que l'exercice de jonglage et de calcul permanent qu'occasionne ce fonctionnement demande un petit temps d'apprentissage.

Prenons pour exemple notre premier casse-croûte en ville : nous trouvons un distributeur de billet, et retirons de l'argent en dollars, avant de dégoter un vendeur de sandwichs. Il nous donne son prix : 6000 riels, soit 1.50 $. Nous lui donnons deux dollars, et il nous rend notre monnaie en riels. Cette petite transaction ne paie pas de mine racontée comme ça, mais dans la pratique elle aura pris près de 5 minutes de calculs et de conversions entre les deux monnaies... C'est un coup à prendre!

En attendant notre bus, nous faisons connaissance avec quelques autres voyageurs français. Parce que oui, au Cambodge, nous allons pour la première fois depuis le début du voyage parcourir un pays en plein début de saison touristique. La chose ne nous emballe d'ailleur pas particulièrement, entre les prix qui s'envolent et les hordes de vacanciers... Ce n'est pas pour rien que nous voyageons hors saison depuis deux ans. Mais la période d'affluence comporte tout de même quelques avantages. Un climat moins brutal et plein d'amis avec des sacs sur le dos en font partie.

Aujourd'hui, nous rencontrons deux couples de tour-du-mondistes gaulois. 

Diane et Guillaume, sur la route depuis quatre mois, ont prévu un an pour faire le tour du globe. Nous ne passerons pas beaucoup de temps ensemble, et ils embarquent rapidement dans un bus à destination de Siem Reap.

Maxime et Tabatha, de leur côté, ont quitté la France en janvier dernier, et ils achèvent leur avant-dernier mois de voyage, après avoir traversé l'Amérique du sud, l'Océanie et l'Asie du sud est.

Nous prenons le même bus, et partageons quelques heures de route ensemble, évidemment insuffisantes pour échanger toutes les histoires de nos périples respectifs. Arrivés à Kratie, nos amis font halte pour quelques jours, et nous échangeons nos contacts avant de les laisser pour embarquer dans un troisième mini bus. 

Le soleil se couche, la journée s'éternise, et les mini bus successifs sont de plus en plus remplis. Et pas que de gens. Ce coup-ci, nous partageons le minuscule véhicule avec une quinzaine de personnes, des moteurs en pièces détachées, tout un tas de marchandises, et même une mobilette...

La nuit tombe, et nous traversons d'interminables zones très urbanisées, savourant difficilement le retour de la dense et anarchique circulation pas vraiment réglementée que nous avions laissé au Vietnam. En gros, la seule règle admise est que le plus massif a la priorité... 

Nous commençons à être franchement crevés par cette interminable journée de voyage, nous ne savons pas où nous allons arrivé, nous n'avons aucun point de chute, aucune carte de la capitale, aucune adresse, il fait nuit, nous avons faim, et en plus... Il pleuuut! 

Pas de panique, ce n'est pas la première fois. Pour nous activer un peu les méninges, nous commençons à discuter avec nos voisins de siège, deux jeunes français d'origine cambodgienne qui se rendent dans la capitale. En grands habitués de Phnom Penh, ils vont nous être d'un grand secour.

Après quatorze heures de voyage, une pirogue et quatres bus, nous débarquons sous la pluie près d'une station service au milieu des immeubles. Nous voila dans la capitale du Cambodge! Il est 22h, nous sommes éreintés, mais nos deux amis sont là. Ils envoient balader les chauffeurs de tuk-tuk qui nous encerclent dès que nous mettons pied à terre, et nous invitent à les suivre, pour nous emmener dans le quartier touristique, où se trouvent toutes les guest houses! Merci!

Enfin nous ne sommes pas encore sortis du sable... Il nous faut encore trouver un endroit où échouer! Nous nous trainons parmis les immeubles et la circulation dans les petites rues du centre, découvrant un très curieux premier aperçu de la ville et du Cambodge. A cette heure-ci, les rues sont encore très animées, et presque entièrement éclairées de rouge par les terrasses des trèèès nombreux bars à filles... Tous les dix mètres se trouvent ainsi des groupes de très (trop?) jeunes demoiselles courtement vêtues, qui aguichent de gros et vieux touristes aux bajoues tremblotantes et au teint rendu écarlate par le whisky et la bière. Repugnant.

En plus de l'agitation (le Laos nous manque déjà!), une deuxième claque nous arrive peu à peu en pleine courge : nous passons une guest house, puis deux, puis trois... Aucune chambre en-dessous de 15$. Nous tournons près d'une heure, désespérés par ces prix. Nous dégotons bien un ou deux établissements proposant des piaules à 10$, mais ils sont complets. 

Il est près de minuit lorsque la fatigue l'emporte et que nous nous résolvons la mort dans l'âme à claquer 15 précieux dollars pour poser nos bardas et nous effondrer sur un lit douillet. Nous n'avons pas payé une telle somme pour dormir depuis la Turquie, où nous nous étions retrouvés bloqués à Izmir à la tombée de la nuit... Enfin bon, nous y sommes, et c'est bien l'essentiel!

Au matin, nous continuons notre quête de la chambre pourrie, sillonant le quartier, et trouvons enfin une piaule à 10$ où déménager. 

L'heure n'est pas encore au repos, et il est temps de nous atteler à la tâche qui nous a conduit ici, en croisant les doigts pour que la chose se règle rapidement. Un petit coup de google map nous permet de localiser la clinique internationale agréée par l'immigration néo-zelandaise, et nous filons sur place. Coup de chance, elle n'est qu'à quelques dizaines de minutes de marche! 

C'est là que tout va se jouer... Première bonne surprise, le réceptionniste voit exactement ce que nous voulons, et il nous prend rendez-vous... Pour dans deux heures! Ouiiiii! La cerise sur le gâteau, c'est que la clinique peut envoyer directement les résultats de nos radios par internet au ministère de l'immigration en Nouvelle Zélande. Re ouiiii! 

Et bien voilà, mission accomplie. Inutile de dire que nous sommes trèèès soulagés.  Deux heures plus tard, nous retournons à la clinique, patientons un moment et nous faisons tirer le portrait de la poitrine en deux temps trois mouvements. Voilà qui est fait! Elle nous aura bien fait courir cette petite arsouille... Pardon? Ah oui, nous n'avons pas la tuberculose. Ouf...

Et bien voilà! Nous fanfaronnons quelques minutes, fiers comme des coqs d'avoir parcouru 600 kilomètres sur deux pays pour une formalité administrative nécessaire à l'obtention d'un visa pour un troisième pays situé sur un autre continent... La magie du voyage n'a décidément pas de limite!

Nous pouvons enfin souffler, et commencer à regarder posément autour de nous. C'est que mine de rien, nous voilà dans un nouveau pays! Et il faut dire que nous l'attendions ce Cambodge.

L'image que nous met sous les yeux Phnom Penh ne correspond pas du tout à ce que nous attendions. Si au Laos, nous avions eu la surprise de découvrir un pays en plein développement irréfléchit, force est de constater qu'au Cambodge, la croissance économique a déjà fait son oeuvre. Autour de nous, les gratte-ciels et les immeubles ont poussé, les fastfoods américains ont ouvert leur portes, et les supermarchés se trouvent à chaque coin de rue, entre deux magasins de smartphones ou de voitures.

Le calme lao est bien derrière nous : la capitale est une fourmilière klaxonnante aux aveuglants néons multicolores. Elle résonne de la techno thaïlandaise crachée par d'énormes enceintes aux devantures des magasins. Elle rempli les poumons de gaz d'échappement et l'horizon de panneaux publicitaires.

On retrouve le choc de la rencontre entre les cultures occidentale et orientale, et le tableau évoque beaucoup ce que nous avions trouvé à Ho Chi Minh, au Vietnam.

Sauf qu'Ho Chi Minh possédait un petit je-ne-sais-quoi qui lui conférait une âme bien particulière, qui nous faisait nous sentir ailleur. Tout comme Hanoi, la ville, bien que très occidentalisée, avait ce petit côté envoutant et mystérieux qui nous plait tant en Asie du sud-est. Tout ces petits détails que nous avions eu la joie de retrouver après une année en Australie, toutes ces odeurs et ces images, ces histoires, toutes ces choses qui mélangées créées une atmosphère différente et formidable.

 Ce petit quelque chose, Phnom Penh ne l'a pas. L'agitation si particulière et brouillonne, la vie qui se déroule de partout, tout cela est présent, mais... Mais c'est tout. Tout est trop neuf, trop générique. Il suffit d'avoir une carte de la ville sous les yeux pour se rendre compte que toutes les rues ont été tracées à la règle. C'est bien simple, on dirait un plan de Melbourne... Bref, l'ensemble sonne un peu creux, et nous n'adhérons pas.











 
Notre point de chute à Ho Chi Minh mélangeait activité touristique et vie locale. Ici, on a l'impression d'évoluer dans le centre commercial de la Part-Dieu à Lyon. Des bars irlandais, des restos italiens, des superettes... Des touristes, des expats, plein d'expats, europeens, chinois, australiens, americains...



C'est assez étrange.

Cette ambiance coloniale est rythmée par les ''tuk-tuk sir?'' des chauffeurs qui attendent dans la rue, perchés sur la banquette de leur petit véhicule et iphone en main. Soit-dit en passant, à tous ceux qui nous avaient mis en garde contre l'insistance exaspérante des chauffeurs de tuk-tuk cambodgiens, nous répondrons simplement : ne mettez jamais les pieds en Inde...

Nous nous retrouvons donc dans cet étrange tableau, un peu largués, pas du tout préparés, un brin à la dérive. Nous profitons de la fin de journée pour flâner un peu au hasard et nous imprégner, nous familiariser avec les prix, trouver des endroits un peu plus locaux, établir notre menu national. De ce côté là, nous restons dans du classique : riz et sandwichs le midi, nouilles chinoises au réchaud pour diner... 

Parce qu'on râle, on râle, mais nous tombons quand même sur un bon vieux marché bien bordélique, foisonnant de vie et d'odeurs, où les pneus de mobilettes côtoient les poissons séchés et les tabourets en plastique des gargottes. Comme au Laos, nous trouvons notre bonheur alimentaire pour un dollar par personne et par repas. 



Durant nos vadrouilles, nous découvrons un bureau de change aux taux pas dégueulasses où nous faisons provision de riels et de dollars US, avant de papoter avec le tôlier pour apprendre qu'il loue des chambre à 5$. Ah! Voilà! Là on commence à discuter!

Une pluie torrentielle nous fait rentrer en fin d'après-midi. La mousson n'est pas encore finie! De retour chez nous, nous signalons l'air de rien au boss de la guest house que nous partons le lendemain. En bon business-man, il nous propose tous les billets de bus du monde, mais nous lui rétorquons que nous avons juste trouvé un meilleur prix pour une chambre. La suite est sans surprise : notre homme nous casse le prix du lit à condition que nous déménagions dans le dortoir. Avec plaisir l'ami!

Bon, il apparait rapidement que le dortoir en question a pignon sur rue. Notre lit est littéralement à 2 mètres du trottoir, et dans cette ville qui ne dort jamais, et dont la majorité des visiteurs sont là pour faire la bringue, trouver le sommeil est un peu dur... On ne peut pas tout avoir!

La météo s'acharne, et nous passons la journée du lendemain, qui voit se déverser des trombes de flotte, à blogger.

Le jour suivant, il est temps de commencer à voir ce que le coin a à offrir. 

Nous attaquons notre tour par le monument de l'indépendance. Construit en 1958 pour célébrer... Oui, l'indépendance du pays après le départ des français en 1953, son architecture s'inspire de celle des grands temples angkoriens. A noter que la plupart des villes au Cambodge possèdent un édifice similaire.   



Nous poursuivons par le palais royal (entrée : 6$), demeure du roi du Cambodge construit en 1860. Si la famille royale habite le palais, toute une partie reste ouverte aux visiteurs. Nous apprécions beaucoup la visite, qui nous montre des édifices plus sobres que les temples parfois un peu trop multicolores du Laos. Le complexe est formé de trois ensembles de bâtiment, séparés par des remparts.

Salle du trône





Pagode d'argent

































C'est beau, pas vrai?

Durant l'après-midi, nous rejoignons le Wat Phnom (entree : 1$). Perché sur sa colline en plein centre ville, ce temple du 14è siècle est le plus haut édifice religieux de la ville.





Nous terminons la journée au Musée national de Phnom Penh (entrée : 6$), qui retrace l'histoire du royaume khmer au fil des siècles. L'un des meilleurs musées que nous ayons visité! Ses statues et ses oeuvres d'art hindoues et bouddhistes content plusieurs siècles d'histoire, et le musée en lui-même est déjà un monument. Les photos étaient interdites, vous devrez vous contenter des extérieurs.



Nous passons la journée suivante à maudire la météo pluvieuse, et à préparer la suite. Quand je dis préparer, je veux dire décider de notre prochaine destination... Au Cambodge, en effet, nous renouons avec une vieille tradition : l'avancée au pif. En dehors de la visite inratable-incontournable-obligatoire des célébrissimes temples d'Angkor, nous ne savons pas du tout ce que nous allons faire ici...

Notre prochaine destination est déterminée par une chose : le Laos n'a pas d'accès à la mer, et cela fait plus de deux mois que nous ne sommes pas allés à la plage. Nous fouinons un peu sur internet pour découvrir qu'au sud de la capitale se trouvent de petits paradis tropicaux qui nous aguichent avec leur photos de plages de sable blanc et d'eau turquoise. Nous jetons notre dévolu sur Kep, petite bourgade au bord du golfe de Thailande...

2 commentaires:

  1. Bonjour ! Nous aimerions savoir combien vous a coûté cette radio pulmonaire s'il vous plaît ? Nous allons nous aussi devoir y passer si l'on veut obtenir notre visa pour la NZ et je n'ai trouvé cette information nul part ! Avez vous également eu besoin d'une assurance spécifique pour avoir ces examens ?
    Merci pour votre réponse !! 😄

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    1. Salut les voyageurs !

      Alors du coup il nous semble que c'était 90 US$ par personne (on y était en 2015), partagés entre la radio en elle-même et une espèce de droit d'entrée à la clinique. Assez raide comme tarif ! Allez bien dans une structure agréée par le ministère de l'immigration néo-zélandais par contre (je crois me souvenir que leur site internet dispose d'une liste). Et à ce prix là, il envoient directement le résultat de la radio en NZ.

      Et aucune assurance n'est nécessaire, même si vous en avez une, elle ne prendra pas en charge le truc de toute façon.

      Profitez bien, et hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'infos pour la Nouvelle Zélande, on a bien fait le tour de question ! Bon vent

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